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Nous avons le profond regret de vous faire part du décès de notre Président d’Honneur et ami le Dr Jean Henrotin .
Nous présentons à la famille et à toutes les personnes proches nos plus sincères condoléances.
· Source: l’Avenir
· Laurent GUYOT
Médecin et échevin dévoué, Jean Henrotin s’est éteint samedi matin. 18 février
ROCHEFORT -
Échevin durant seize ans, Jean Henrotin est décédé samedi matin à l’âge de 79 ans. La perte est lourde tant pour sa famille que pour la commune.
C’est début novembre qu’une grave maladie a été diagnostiquée chez Jean Henrotin. L’issue, hélas funeste, a donc été fulgurante puisque l’emblématique médecin jemellois s’est éteint ce samedi matin, soit trois bons mois à peine après le diagnostic. Pour la cité des Roches, la perte est énorme, car Jean Henrotin, de par son métier ainsi que par son action politique et sociale, était connu et reconnu de tous
C’est début novembre qu’une grave maladie a été diagnostiquée chez Jean Henrotin. L’issue, hélas funeste, a donc été fulgurante puisque l’emblématique médecin jemellois s’est éteint ce samedi matin, soit trois bons mois à peine après le diagnostic. Pour la cité des Roches, la perte est énorme, car Jean Henrotin, de par son métier ainsi que par son action politique et sociale, était connu et reconnu de tous
Médecin, avec un grand M
Jemellois d’origine, les parents de Jean Henrotin ont après-guerre émigré à Éprave pour y reprendre une ferme. C’est là que Jean a commencé une scolarité dont la haute qualité ne sera jamais démentie par la suite, tant à l’athénée de Rochefort qu’à l’université de Liège d’où il sortira docteur en médecine en 1958. C’est à Jemelle que Jean a alors souhaité ouvrir son cabinet : dans la maison appelée La Pergola d’abord, rue de la Lomme ensuite. Il était un médecin avec un grand M, un docteur de campagne comme il n’y en a plus guère aujourd’hui. Avec lui, de garde ou pas de garde, de jour ou de nuit, en semaine ou en week-end, c’était du pareil au même : quand un patient avait besoin de lui, il intervenait. Chaque jour, les Jemellois « lève-tôt » remarquaient déjà, dès 6 h 30, qu’il y avait de la lumière dans le cabinet du docteur.
La politique en 94
La politique en 94
Quand en 1994, François Bellot planchait sur une liste qui devait l’amener à la majorité, c’est tout naturellement que son choix s’est porté vers Jean Henrotin. Coup d’essai, coup de maître : le MR gagne les élections et Jean Henrotin devient de suite échevin des affaires sociales. D’emblée, il s’investit, analyse, écoute puis définit une liste de priorités au sommet de laquelle trône le souci de venir en aide aux plus faibles. Un souci qui se matérialise notamment par une action soutenue en faveur des ASBL Gamedella et La Farandole. Ainsi que par la création d’une commission communale de la personne handicapée, à l’époque une des premières du genre en Wallonie. Autant d’actions très appréciées des électeurs qui lui maintiendront leur confiance tant en 2000 qu’en 2006, avec des scores flirtant les deux fois les 1 300 voix.La maison de repos, son enfant chéri« Je veux bien venir en politique avec toi, mais alors, si on gagne, tu me promets qu’on lance la construction d’une maison de repos». L’arrangement était clair, dès le départ, entre François Bellot et Jean Henrotin. Et le projet de Résidence Préhyr, Jean Henrotin l’a donc porté depuis le début. Il en présidait d’ailleurs le conseil d’administration depuis fin 2010 lorsque, pour appliquer l’accord électoral prévu, il avait transmis son écharpe scabinale à Yvon Herman
Dernière intention de Prière au funérarium
Pour Toi, Jean
Rien qu’un petit mot,
Pour te dire qu’on ne t’oubliera pas.
Que l’on se souviendra toujours,
De tes cheveux,
De tes yeux,
De ton sourire radieux.
Rien qu’un petit mot,
Pour te demander de nous aider à surmonter,
Tout ce que la séparation, en nous à détraqué,
Ces dures épreuves d’ici-bas.
Rien qu’un petit mot,
Pour te demander de nous envoyer,
Du plus profond de ta victoire,
Ce petit morceau de bonheur,
Qui s’est perdu dans le labyrinthe de la maladie.
Rien qu’un petit mot,
Pour te demander d’effacer les fissures,
Les obstacles, les incompréhensions.
Pour te rappeler que l’on compte sur toi,
Que l’on a besoin de ta force, de ta foi.
Rien qu’un petit mot,
Pour te dire que toujours on t’aimera,
Pour te dire que ton non, jamais on ne l’oubliera,
Et qu’en nos cœurs, pour toujours tu resteras.
Rien qu’un dernier petit mot,
Pour te dire et te redire que l’on t’aime,
Que le plus grand palais, que le plus pur rubis,
N’est en comparaison de ton vécu, de ta vie, de ton amour,
Qu’éphémère beauté.
Enfin, rien qu’un tout dernier petit mot,
Pour te dire merci, de tout ce que tu as été pour moi.
Pour dire merci à tes proches, et à ceux que tu as chéris
De m’avoir permis de t’accompagner jusqu’ici,
Et, de prendre congé de toi, Jean, mon ami,
En gardant précieusement, ton nom, gravé dans mon cœur.
Eugène, ton ami très proche.
Eugène Renard Diacre
Dernier adieu au Docteur Jean Henrotin
Jean, tu avais un si grand cœur,
Qu’il contenait bien plus que le mot Docteur.
Aujourd’hui dans cette veillée, Tous tes amis, tous tes proches,
Sont venus te retrouver pour te dire leur amour, leur affection mais aussi leur émotion.
Tous, nous savons combien tes patients comptaient pour toi.
Bien plus que des malades, ils étaient tes confidents intimes.
Que de temps tu as pris pour les écouter, pour être attentif à leurs besoins, à leurs plaintes.
Que de temps tu as pris pour suivre tes engagements dans diverses associations, divers conseils d’administration.
Ce qui te tenait le plus à cœur, c’était « La Résidence Prehyr », ses malades, son personnel et tous ceux que tu pouvais y rencontrer.
Aujourd’hui, puisse le Seigneur entendre la prière de tes amis ici rassemblés et te murmurer à l’oreille, avec ses mots à lui, combien nous t’aimons et combien, dans l’espérance et la force que nous donne la foi, nous continuerons de t’aimer d’un indéfectible amour.
Dernière intention de Prière au funérarium
Pour Toi, Jean
Rien qu’un petit mot,
Pour te dire qu’on ne t’oubliera pas.
Que l’on se souviendra toujours,
De tes cheveux,
De tes yeux,
De ton sourire radieux.
Rien qu’un petit mot,
Pour te demander de nous aider à surmonter,
Tout ce que la séparation, en nous à détraqué,
Ces dures épreuves d’ici-bas.
Rien qu’un petit mot,
Pour te demander de nous envoyer,
Du plus profond de ta victoire,
Ce petit morceau de bonheur,
Qui s’est perdu dans le labyrinthe de la maladie.
Rien qu’un petit mot,
Pour te demander d’effacer les fissures,
Les obstacles, les incompréhensions.
Pour te rappeler que l’on compte sur toi,
Que l’on a besoin de ta force, de ta foi.
Rien qu’un petit mot,
Pour te dire que toujours on t’aimera,
Pour te dire que ton non, jamais on ne l’oubliera,
Et qu’en nos cœurs, pour toujours tu resteras.
Rien qu’un dernier petit mot,
Pour te dire et te redire que l’on t’aime,
Que le plus grand palais, que le plus pur rubis,
N’est en comparaison de ton vécu, de ta vie, de ton amour,
Qu’éphémère beauté.
Enfin, rien qu’un tout dernier petit mot,
Pour te dire merci, de tout ce que tu as été pour moi.
Pour dire merci à tes proches, et à ceux que tu as chéris
De m’avoir permis de t’accompagner jusqu’ici,
Et, de prendre congé de toi, Jean, mon ami,
En gardant précieusement, ton nom, gravé dans mon cœur.
Eugène, ton ami très proche.
Eugène Renard Diacre
Dernier adieu au Docteur Jean Henrotin
Jean, tu avais un si grand cœur,
Qu’il contenait bien plus que le mot Docteur.
Aujourd’hui dans cette veillée, Tous tes amis, tous tes proches,
Sont venus te retrouver pour te dire leur amour, leur affection mais aussi leur émotion.
Tous, nous savons combien tes patients comptaient pour toi.
Bien plus que des malades, ils étaient tes confidents intimes.
Que de temps tu as pris pour les écouter, pour être attentif à leurs besoins, à leurs plaintes.
Que de temps tu as pris pour suivre tes engagements dans diverses associations, divers conseils d’administration.
Ce qui te tenait le plus à cœur, c’était « La Résidence Prehyr », ses malades, son personnel et tous ceux que tu pouvais y rencontrer.
Aujourd’hui, puisse le Seigneur entendre la prière de tes amis ici rassemblés et te murmurer à l’oreille, avec ses mots à lui, combien nous t’aimons et combien, dans l’espérance et la force que nous donne la foi, nous continuerons de t’aimer d’un indéfectible amour.
